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vendredi 21 juillet 2023

L'Etape du Tour 2023 : dans le dur !

Le col de Joux Plane m'a mis au supplice ... et d'autres aussi

 

8ème participation à l'Etape du Tour pour un résultat qui à l'arrivée m'a semblée bof-bof, étant moins bien classé cette année que l'année dernière. Au-delà du classement, le parcours se révélà très plaisant, avec des vues magnifiques sur le lac Léman et le Mont-Blanc. Bien que ce tracé ne comportait pas de cols ou montées mythiques, il n'en n'était pas pour autant facile, avec deux belles difficultés en fin de parcours, le col de la Ramaz et le col de Joux Plane.


Le déroulé de la course

Je partais cette année du premier sas, et un peu par hasard, j'étais bien placé, à quelques mètres seulement de l'arche de départ. A refaire, je me placerais plus à l'arrière du sas, les premiers kilomètres s'étant révélé particulièrement stressants, me faisant dépasser de tous les côtés et étant le témoin d'une chute juste devant moi.

Le parcours comportait quatre petites ascensions (Col de Saxel, col de Cou, col du Feu, col de la Jambaz) et deux belles montées (col de la Ramaz et col de Joux-Plane). Avec seulement 2.000 km dans les jambes depuis le 1er janvier, j'ai cherché à gérer mon effort, et c'est finalement dans Joux-Plane que j'ai "explosé", mettant 11 minutes de plus que lors de la reconnaissance. 

Cette défaillance est à mon sens liée à trois raisons :

  • Un manque évident de fraîcheur avec un week-end précédent intense, et une dernière semaine sans déchargement ;
  • Un manque de sortie longue en lien avec un volume plus réduit (85h de vélo au S1 en 2023 Versus 134h en 2022, soit -37%) ;
  • Une montée finale en plein soleil, avec des températures élevées.  


L'analyse du résultat

Comme indiqué précédemment, mon classement de cette année est moins bon qu'en 2022, toutefois, en y regardant de plus près, il y a deux motifs de réconfort :

  • Mon classement relatif est meilleur en 2023, étant 614ème sur 11.791 finishers versus 546ème sur 8.707 en 2022 ;
  •  Mon écart de temps avec le vainqueur est moindre en 2023, 132% versus 137%.

Par ailleurs, les écarts sont vraiment très serrés. En mettant 11 minutes de moins, mon classement se serait amélioré de l'ordre de 180 places (!).

Lorsque l'on regarde col par col, je suis de mieux en mieux au classement, alors que j'ai plutôt sensiblement décliné sur la fin. A mon sens, cette progression s'explique principalement par le départ trop rapide de bon nombre de concurrents.

  • 1.394ème au col de Saxel
  • 909ème au col de Cou
  • 1.051ème au col du Feu
  • 602ème au col de la Ramaz 
  • 626ème au col de Joux-Plane


Cette étape se déroulait pour partie dans la vallée verte et on comprend pourquoi. 


mercredi 22 juillet 2015

Compte rendu | L'Etape du Tour 2015

l'EDT fait les gros titres de la presse locale
Sensation bizarre au départ de cette Etape du Tour. Alors que par le passé, c'était le rendez-vous majeur de ma saison, cette année, il s'agit juste de faire bonne figure. La stratégie retenue est simple : partir sur un rythme prudent afin d'éviter le calvaire de 2012 dans la montée finale vers la Toussuire. Finalement, c'est l'exact contraire qui se produira.

Le course

sas 0, juste avant le départ
Le départ est donné à 7h et pour une fois, il n'y a que peu de kilomètres de plat avant la première ascension. Cela me convient très bien, m'évitant de me faire doubler dès les début par les gros rouleurs.
La première difficulté est le col du Chaussy. Il fait déjà plus de 20° mais le soleil ne tape pas encore sur ce versant de la Maurienne. Je me fais dépasser par quelques groupes, mais pas d'inquiétude, ce n'est que le début de l'épreuve. La descente qui vient d'être goudronnée pour le Tour de France 2015 est étroite et sinueuse, je ne prends donc aucun risque.
Environ 30 km sont ensuite à parcourir dans la vallée et un regroupement s'opère avec la formation d'un peloton d'une cinquantaine de coureurs. Le rythme n'est pas toujours rapide (personne ne veut faire le train pour les autres) mais au moins, je m'économise.
Dans le Glandon, le soleil commence à taper, mais les arbres offrent de l'ombre dans la première partie de l'ascension. Je suis d'ailleurs surpris d'être l'un des seuls coureurs à systématiquement me positionner à l'ombre. Je continue sur mon rythme prudent, même si les deux derniers kilomètres de ce col sont toujours très difficiles. La jonction avec la Croix de Fer s'effectue sans problème, bien porté par un puissant vent de dos.
La descente s'effectue en chasse patate. Dans le Mollard, je continue de préserver mes forces en tirant mon plus petit braquet (34x25) et en compensant par la fréquence de pédalage.
Coureurs au pied de la Toussuire
Arrivée à Saint-Jean de Maurienne, au pied de la Toussuire, la galère commence. Entre le soleil qui cogne et la chaleur réfléchie par le bitûme brulant, c'est un vrai grilloir, et mon compteur affiche d'ailleurs 37°.  Malgré une montée plutôt roulante, je suis très vite dans le dur et surtout, très frustré. Alors que je m'étais économisé pour être bien dans la montée finale, c'est tout le contraire qui se produit. A y réflechir, j'aurais peut-être du plus me livrer quand les conditions étaient plus favorables en début de course.

A mi-montée, un bénévole m'asperge avec son jet d'eau. La sensation de mieux est quasi immédiate. Sauf que deux minutes plus tard, l'inconfort de la chaleur recommence. La fin comme en 2012 est interminable, je franchis la ligne après 6h29 d'effort soit 605ème sur 9 877.

Un résultat ni bon ni mauvais

L'objectif annoncé était de terminer dans les 600 premiers et je termine 605ème, ce n'est donc pas une contre-performance, même si secrètement, j'espérais un peu mieux.

Toutefois, des éléments objectifs permettent de tempérer cette petite déception :
  • J'ai terminé 385ème en 2012 sur quasiment le même parcours mais avec 4.422 arrivants versus 605ème sur 9.877 cette année. Le classement absolu est moins bon cette année, mais meilleur en relatif. D'ailleurs, de toutes les EDT auxquelles j'ai participé, c'est mon 2ème meilleur classement relatif ;
  • Par rapport à l'EDT 2012, Strava m'indique que je suis plus rapide dans les 3 montées communes (Glandon, Mollard et La Toussuire) ;
  • Les écarts sont resserrés : Thor Hushovd qui met 12 minutes de moins que moi, termine quasiment 200 places devant. 

Quelques anecdotes

J'ai rencontré Thor Hushod - la preuve !
  • La veille de la course, je vois sur le site internet de l'EDT que Thor Hushovd prendra le départ. Au moment où je rentre dans mon SAS, je le vois juste devant moi. Il accepte volontiers de poser pour une photo ensemble ;
  • Thor Hushovd accompagne un groupe de norvégien de la société Statoil et j'ai pu discuter avec l'un d'entre eux. Il m'indique viser 6h, ce qui me parait très ambitieux, sauf qu'il me précise être un finisher du triathlon Norseman (l'équivalent d'Embrun en Norvège). Finalement, je le doublerai dans la fin du Glandon ;
  • Les ex-pro Geoffroy Lequatre et Steve Chainel étaient présents pour participer "à la cool" à l'Etape du Tour dans le cadre de la promotion de Explore Nice Métropole. J'ai effectué en leur compagnie toute la montée du Chaussy et ils ont gentiment accepté de discuter avec moi. Geoffroy Lequatre ayant notamment été co-équipier de Lance Armstrong chez Radioshack, cela nous a fait un sujet de discussion tout trouvé ;
  • Parmi les people présents à cette édition 2015, il y avait notamment Stéphane Diagana (6h51), Richard Dacoury (10h38) et Thierry Marie (8h33).

Une organisation perfectible

  • Les organisateurs ont eu la brillante idée d'effectuer la remise des dossards à la Toussuire. C'est donc environ 12.000 coureurs qui ont du monter à la station, et comme cela était prévisible, un bouchon conséquent s'est formé. Perte de temps pour les coureurs, et zéro pointé coté bilan carbone ;
  • Pas de parc à vélo au village départ : les courageux cyclistes venus récupérer leurs dossards ne pouvaient pas stationner leur engins dans un endroit sécurisés  ;
  • Beaucoup de concurrents qui ne respectent pas leur affectation de sas de départ - cela mériterait un contrôle plus strict.

mercredi 22 octobre 2014

L'Etape du Tour 2015

Annonce en ce moment du parcours du TdF 2015 (copie d'écran ci-dessous) - l'Etape du Tour se déroulera entre Saint Jean de Maurienne et La Toussuire le dimanche 19 juillet. Cela ressemble beaucoup à l'EDT 2012 Albertville - La Toussuire en un peu moins difficile avec le col du Chaussy à la place de celui de la Madeleine. Concernant ce col du Chaussy, je l'avais escaladé en 2012 le trouvant pas mal du tout (Post ici).

In fine, c'est très certainement moins dure qu'une Marmotte mais quand même d'un bon niveau - je valide ! Sous réserve d'obtenir un dossard, je devrais être au départ.



Deux remarques : 
  • Il est indiqué col de la Croix de Fer mais ce sera en fait le Glandon depuis la Maurienne (sens opposé à celui de la Marmotte) puis la courte jonction entre Glandon et Croix de Fer. De ce coté, la fin du Glandon est terrible ;
  • L'EDT se déroulera le dimanche 19 juillet, ce qui a obligé le BRA (Brevet des Randonneurs des Alpes) à changer sa date d'organisation. L'information avait "fuité" dès décembre 2013 (article ici).

mercredi 10 juillet 2013

Compte rendu | L'Etape du Tour 2013

Le parcours : 127km pour 3 600m de dénivelé
Le final dans le Semnoz était difficile, avec un profil comparable à l’Alpe d’Huez, c’est à dire des pourcentages élevés dès le début de l’ascension qui vous mettent dans le rouge et où j’ai personnellement sombré. Pour le reste, le parcours était plutôt roulant et il était important de s’insérer dans un groupe pour gérer au mieux son effort (ce qui n’a pas toujours été mon cas, faute d’avoir préalablement repéré le parcours). Pour les paysages, ce n’était pas de la haute montagne comme en Maurienne, mais néanmoins très beau avec de superbes vues sur les lacs d’Annecy et du Bourget.

Le résultat : 291ème !
Après 550ème en 2011 et 386ème en 2012, je termine 291ème sur 11 500 partants. C’est pour une étape alpestre mon meilleur classement tant en absolu qu'en relatif. Finalement, la préparation tronquée pour cause de marathon de Paris n’aura pas été préjudiciable, mais il est vrai que les écarts sont très serrés : le 386ème ne termine que 6 minutes derrière moi, et le 550ème 14 minutes. A l’inverse, pour rentrer dans les 200 premiers, c’est 7 minutes de moins et dans le top 100, c’est 17 minutes. Un objectif réaliste pour l’année prochaine serait de viser une place parmi les 250 premiers … soit 3 minutes de moins, ce qui semble possible vu comment j’ai « explosé » dans le Semnoz.

Les anecdotes
  • Au moment de rentrer dans le sas de départ, Alban Lorenzini passe juste devant moi. Je ne le connaissais pas personnellement, mais fidèle lecteur de son blog, je vais à sa rencontre et discutons quelques minutes si bien que je me retrouve en photo pour son message consacré à l’EDT (http://cyclesetforme.blogspot.fr/2013/07/etape-du-tour-2013.html). Ses connaissances venant le saluer, j’ai pu rencontrer l’inventeur du SRM, un entraineur intervenant au CC Etupe et une ancienne championne de VTT.
  • J’ai doublé Alain Prost ! Il termine 526ème en 5h12. D’autres peoples étaient présents et notamment Julien Absalon (2ème, qu’avait-il à prouver ?), Jason Lamy-Chappuis (713ème), Fabrice Guy (2 358ème), Thierry Marie (2 726ème), et Antoine Dénériaz (4610ème).
Relevé Strava :

mercredi 24 octobre 2012

L'Etape du Tour 2013 : Un choix décevant

Alors que tous les cyclosportifs rêvaient d'une double montée de l'Alpe d'Huez, c'est finalement l'étape d'Annecy qui a été choisie pour l'EDT 2013.

Ce choix est décevant, notamment parceque :
  •  L'idée de l'EDT est d'offrir aux cyclo-sportifs les lieux de légende du tour de France, mais pour cette année pas de col mythique ;
  • Le défi physique proposé est somme toute moins "challenging" que celui des années précédentes (seulement 130km et environ 3000m de dénivelée) ;
  • Alors que ce centième Tour de France regorge d'innovations (départ de Corse, arrivée nocturne à Paris, double montée de l'Alpe d'Huez), l'EDT doit se contenter d'un parcours banal
Je suppose qu'ASO n'a pas choisi l'Alpe d'Huez soit parceque l'EDT y est passée en 2011 soit parceque la double montée aurait imposé de couper la circulation sur une trop longue période.

Cette déception pourrait me conduire à participer à la Marmotte (qui se déroule la veille de l'EDT), mais là c'est un entraînement exigeant qui m'attend .... on verra.

Seul point positif de ce tracé, départ et arrivée sont proches ce qui facilitera l'organisation logistique.

mardi 10 juillet 2012

Compte rendu | L'Etape du Tour 2012

Objectif atteint ! Alors que je voulais figurer dans les 500 premiers, je termine 386ème. Après l'échec du marathon de Paris pour cause de tendinite, cela fait évidemment très plaisir. Le parcours m'a vraiment semblé dur et les conditions météos (pluie au départ, cagnard à la fin) n'ont rien arrangé, si bien que j'ai terminé exténué.

C'est avec un petit moral que je prends le départ : il pleut et la Tarentaise semble "bouchée" pour la journée. Comme d'habitude, mon manque de puissance se fait sentir et je me fais doubler sur les 20 premiers kilomètres de plat par des coureurs partis dans des sas après moi.

Pour la première difficulté, le col de la Madeleine,  je décide d'y aller sans forcer sachant le programme qui m'attend, ce qui toutefois ne m'empêche pas de doubler des concurrents. La pluie s'est arrêtée mais il ne fait pas très chaud. Au sommet, la vue sur la vallée de la Maurienne laisse espérer des conditions météo plus favorables, ce qui ce confirmera par la suite. Dans la descente, les différences de vitesse entre concurrents sont impressionnantes : alors que certains descendent à tombeau ouvert, d'autres ne prennent aucun risque.

Comme précédemment, je pars doucement dans le Glandon et me sens plutôt bien jusqu'au replat à mi-montée. Par contre, la fin du col est terrible avec une impression de ne plus avancer et je me fais passer par quelques concurrents. Puis, la transition vers la croix de fer s'effectue sans difficulté.

J'entame la descente à toute vitesse et m'insère dans un groupe juste avant le début du Mollard. Contrairement aux montées précédentes, je ne double plus personne et commence à me sentir très fatigué.

La descente vers Saint Jean de Maurienne est assez piégeuse avec beaucoup de virages. Je fais le choix de passer les quelques concurrents devant moi pour rouler sans avoir à gérer leurs trajectoires.

La montée finale vers la Toussuire va se révéler dure à gérer. Les premiers kilomètres en ligne droite et en plein cagnard sont un enfer : je ne suis pas bien physiquement et prends un coup au moral lorsque plusieurs concurrents me déposent. Finalement, je termine tant bien que mal, satisfait de l'avoir fait. Mon compteur indique à peu près 5 000 mètres de dénivelée, soit l'équivalent d'une marmotte et ça me donne des idées pour l'année prochaine ...

Relevés GPS :
http://app.strava.com/activities/28313513

Analyse des temps :











lundi 25 juin 2012

EDT : Entrainement dans les Vosges

Dans cette dernière ligne droite de ma préparation pour l'EDT, j'ai pu enfin profiter d'un WE sans pluie pour aller grimper plusieurs cols dans les Vosges. In fine, c'est environ 290 km parcourus et 5 700m gravis.

Liste des difficultés grimpées (dans l'ordre du tracé ci-dessous) :
Col du Ménil
Ballon d'Alsace**
Col du Hundsruck*
Grand Ballon***
Col de Grosse Pierre* (qui sera emprunté par le TDF 2012)
(plus y a d'étoiles, plus c'est dur)

Bien sûr, ces cols ne sont pas du niveau de ceux des Alpes. Mais, c'est plus près de chez moi, et au moins, on peut en grimper plusieurs dans la même journée sans être trop fatigué, et ainsi passer de vallée en vallée. Par ailleurs, ces cols réservent quelques petites surprises, comme un passage en pavé dans Grand Ballon digne de Paris-Roubaix, ou encore une magnifique vue depuis la route des crêtes.

Relevés GPS :

dimanche 3 juin 2012

Reconnaissance de l'EDT 2012 - Acte I

Ayant passé quelques jours de congés en Maurienne afin de reconnaitre les différentes difficultés de l’Etape du Tour 2012 Acte I, voici ci-dessous - col par col - mes impressions. En synthèse, il faudra être bien préparé, car l’accumulation des difficultés risque de faire (très) mal en fin de parcours.


Col de la Madeleine
Via le versant nord-est / 26,5 km / +1 610 m  
No comment car j’ai grimpé la Madeleine par le versant qui sera descendu lors de l’EDT. Par ailleurs, j’ai croisé l’équipe pro AG2R lors de ma redescente du col (qui comme moi montait dans le sens contraire du tour de France).


Col de la Croix de Fer 
Via le col Glandon / 22 km / +1 636m
L’ascension est longue et dès le début les pourcentages sont à 7/8%. Heureusement, la traversée de Saint-Colomban-des-Villards à mi-montée permet de souffler quelques instants. A noter les 2 derniers kilomètres du Glandon qui sont particulièrement raides.

Col du Mollard
5,9 km / +403m
Bien que court, ce col n’est pas pour autant facile. Dès le début, la pente est forte, tout comme dans le dernier kilomètre.

Montée de la Toussuire 
19,1 km / +1 145m
Même si les premières pentes sont raides, ce n’est toutefois pas l’Alpe d’Huez. La route offre un bon rendement et la pente plus douce à mi-montée permet de récupérer. 


Sinon, j’en ai profité pour escalader d’autres cols de la Maurienne :
  • Col de la Croix de Fer (depuis St Jean de Maurienne) : ascension plus longue (30 km) que difficile ;
  • Col du Mont de Cenis : montée très agréable, par contre, l’arrivée au pied du col depuis Saint Jean de Maurienne n’est pas toute plate ;
  • Col du grand Cucheron : Facile au début, la pente se relève progressivement. La plus grande partie de la montée s’effectue en sous-bois, donc pas de panorama à contempler mais de l’ombre en contrepartie ;
  • Col du Chaussy : voici un col qui gagnerait à être connu : peu de circulation, un très beau panorama sur la vallée de la Maurienne, et des % sympathiques par moments ;
  • Col du Télégraphe + col du Galibier : la col n'est pour le moment pas ouvert, je n'ai pu monter que jusqu'au tunnel.