C’était la journée pas de chance en termes de logistique, car ma valise a été égarée et je ne l’ai récupéré qu’à 17h30 d’où ce post publié plus tardivement. En outre, mon Iphone s’est bloqué, ce qui m’a empêché de prendre des photos de la course. Quand ça veut pas ....
Le parcours : Magnifique col de la Loze
Le passage marquant du parcours était la montée finale au Col de la Loze, qui n’est pas une route encore très connue (jamais emprunté par le Tour de France) car récente, mais qui est sacrément dure dans sa partie finale. Les pourcentages moyens par kilomètre n’ont rien d’effrayant, mais c’est en fait une succession de coup-de-culs supérieurs à 15% suivis de replats et même de descentes. Bref, tout le contraire d’un effort linéaire facile à gérer.
Panorama au col de Loze (c) Haute Route |
D’un point de vue paysage, cette montée finale au col de la Loze était vraiment magnifique tout du long, avec de surcroît un panorama à 360° au sommet.
Ma course : Mieux qu'hier
Le gros stress était de se retrouver dans le bon groupe pour la partie dans la vallée. Après une montée au col des Saisies où comme d’habitude j’ai mis plusieurs minutes à trouver mon rythme, j’ai pu accrocher un groupe au bas de la descente, ouf ! Sauf qu’ils roulaient comme des cinglés sur le faux plat descendant jusqu’à Albertville, et que j’étais à deux doigts de péter à deux moments.
Finalement, ils se sont calmés dans la vallée, et j’ai pu passer cette partie sans trop me fatiguer (même si j’ai quand même l’impression de ne pas avoir le niveau sur le plat).
Pour la montée finale, j’ai géré dans la première partie, en essayant de conserver une FC pas trop élevée (aux alentours de 140 pulsations par minutes), puis pour la partie finale, j’ai fait comme j’ai pu, mais cela ne s’est pas trop mal passé, car j’ai repris probablement un peu plus d’une dizaine de coureurs et un seul m’a doublé.