Pour résumer 2016, je dirais que ce fût (encore) une année très axée running comme le montre le graphique ci-dessous. Il y a quand même eu du vélo, mais le plus souvent en complément de la course à pied.
Run, ran, run
J'ai encore plus couru qu'en 2015, qui était déjà une année référence, et je pense d'ailleurs être arrivé à saturation. Le marathon de NYC passé, j'ai complètement débranché, n'ayant pas couru une seule fois depuis (!).En termes d'entrainement, la participation à la CCC m'a incité, à tort, à vouloir faire du volume, sans qualitatif. Ce choix s'est traduit par une fatigue marquée et une stagnation des performances. Je le savais déjà et cela le reconfirme, je dois faire du fractionné pour progresser.
Bilan des courses
- Semi-marathon de Saint-Witz : le plaisir de se retrouver entre amis sur ce semi au profil accidenté, avec un chrono honorable (1:24) ;
- DKV urban trail de Luxembourg : 2ème participation avec un résultat en deçà de l'année précédente ;
- Le rush du bout du monde : un trail dans les Vosges, confidentiel mais avec son charme ;
- Semi-marathon du Luxembourg : une belle ambiance, mais une belle claque aussi en termes de chrono (1:27) ;
- Marathon du Mont-Blanc : un trail avec le magnifique Mont-Blanc en arrière-plan mais sur une distance plus accessible qu'à l'UTMB ;
- CCC : une première encourageante sur ce format d'épreuve (100 km en montagne), mais pas certain que j'y revienne ;
- Semi-marathon de Bruxelles : semi préparatoire au marathon de NYC, sur un parcours bof-bof mais avec un chrono encourageant pour la suite (1:23) ;
- NYC : un nouveau PB (2:53), une ambiance incroyable, j'ai adoré.
L'année des DNS
J'ai toujours terminé les courses auxquelles j'ai pris part. Par contre, cette année, je me suis inscrit à différentes courses pour finalement ne pas y participer, avec des raisons plus ou moins justifiées. Il y a eu le trail des hautes fagnes, le trail du Graoully, et la Saintélyon. Concernant cette dernière, étant sorti bien fatigué physiquement et mentalement du marathon de NYC, je n'avais plus du tout envie de courir. A posteriori, c'était un pari trop ambitieux de vouloir enchaîner CCC, NYC et STL.Et le vélo ?
L'achat d'un VTT était mon "auto-cadeau" de Noël 2016, et j'en suis ravi. L'hiver, c'est quand même bien plus agréable de faire du VTT que du vélo de route, et lors de la préparation d'épreuves de course à pied, c'est un bon outil pour faire des sorties de récupération.
Week-end en touriste à Londres, et qui je croise sur Piccadelly Street ... Bradley Wiggins ! |
Concernant le vélo de route, mon plaisir est de faire de longues sorties, mais je me suis aperçu que c'était difficilement compatible avec des volumes importants en course à pied, car générant trop de fatigue.
Vacances
Les Dolomites m'avaient émerveillé l'an passé, et j'y suis donc retourné, mais en m'efforçant de voir d'autres endroits.A l'aller, je suis passé par Solden, une station de ski autrichienne, et j'en ai profité pour grimper le Timmelsjosch, col frontalier avec l'Italie culminant à 2.509 mètres.
Sur place, je suis allé marcher autour des Tre Cime di Lavaredo. Ce n'est pas une balade difficile, mais c'est surtout magnifique.