J’ai enfin pu participer à la Charly Gaul, cyclosportive à la mémoire de l’ange de la montagne (vainqueur du tour de France 1958) se déroulant dans la petite suisse luxembourgeoise. Ici pas de col, mais de bonnes petites côtes en veux-tu en voilà.
Sur un rythme d’entrainement allégé depuis l’EDT, je m’aligne sur le parcours B de 90 km. Les 10 premiers kilomètres sont plats et « as usual » les coursiers aux cuisses grosses comme des parpaings me doublent. La première cote est assez longue et conduit à écrémer le flot de coureurs, idem pour la seconde qui commence par un sérieux raidard. Mal placé au départ (2 minutes pour franchir la ligne), ces deux difficultés me permettent de remonter au classement, et me retrouve dans un peloton d’une trentaine de coureurs.
Jusqu’au 60ème kilomètre, les sensations sont bonnes, mais 10 km plus tard ce n’est plus la même histoire. Les coups de vis des leaders du groupe lors de chaque relance me mettent systématiquement en difficulté. Finalement, je « saute » dans la dernière montée et n’arrive même pas à prendre la roue de ceux qui avaient décroché avant moi. A environ 2 kilomètres de l’arrivée je me fais reprendre par un groupe d’une cinquantaine de coureur et termine dans ce paquet.
Pour cette première cyclosportive en dehors de l’étape du tour, le résultat est contrasté :
Jusqu’au 60ème kilomètre, les sensations sont bonnes, mais 10 km plus tard ce n’est plus la même histoire. Les coups de vis des leaders du groupe lors de chaque relance me mettent systématiquement en difficulté. Finalement, je « saute » dans la dernière montée et n’arrive même pas à prendre la roue de ceux qui avaient décroché avant moi. A environ 2 kilomètres de l’arrivée je me fais reprendre par un groupe d’une cinquantaine de coureur et termine dans ce paquet.
Pour cette première cyclosportive en dehors de l’étape du tour, le résultat est contrasté :
- C’est nettement moins bien au classement, terminant seulement dans le premier tiers (195ème sur 692) versus le premier décile à l’EDT (387ème sur 4422)
- C’est mieux en termes de temps, n’étant qu’à 9% du vainqueur contre 28% à l’EDT